Abbonez-vous aux parutions Politikart. Entrez votre adresse e-mail:

Jeudi 13 décembre, alors que Nicolas Sarkozy était à Lisbonne pour se reposer des coups de boutoir de Mouammar en apposant sa signature sur le mini-traité européen, Claude Guéant était interrogé à Paris par la commission d'enquête parlementaire sur les infirmières bulgares. Par Tessa Ivascu
.
Le secrétaire général de l'Elysée a cru bon expliquer à la commission que "c'est Cécilia Sarkozy qui, lors du dernier rendez-vous, le 23 juillet, à 16 heures, obtient la libération du médecin palestinien et des infirmières. Qui mieux que l'épouse du chef de l'Etat pouvait incarner l'intérêt porté à ces négociations ?" "Qui mieux qu'elle, alors, aurait pu nous raconter cette histoire ?" a retorqué le président de la commission, Pierre Moscovici.
Une bonne réplique, mais qui ne figurera sans doute pas dans le projet de rapport que la commission devra remettre en janvier au président de l'Assemblée nationale, texte qui sera voté par la commission des Affaires étrangères le 25 janvier.
.
M. Guéant s'était rendu avec l'ex-épouse du chef de l'Etat, Cécilia Sarkozy, à deux reprises -les 12 et 22 juillet- en Libye dans le cadre des négociations pour dénouer cette affaire.
votez pour cet article

Abonnez-vous / Communiquez / Partagez cet article :

Newsletter Fil RSS Politikart PARTAGEZ :

Vous aimerez aussi :