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Jacques Séguéla sait même faire le tigre sans avoir peur du ridicule. Alors broder sur la naissance de l'idylle entre Minnie Bruni et Mickey Sarkozy, idylle dont il serait à l'origine, c'est "peanuts" (comme dirait Patrick Balkany) pour cet éminent publicitaire. Par Tessa Ivascu
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"Nicolas, il était très seul, raconte-t-il sur Europe 1. Ça l'a quand même touché tout ça (Cécilia, etc.). Il m'a dit : écoute, fais-moi un dîner de copains chez toi avec ta bande, je n'en peux plus d'être seul le soir à l'Elysée" (nous non plus).
"Moi, j'ai voulu lui faire un diner de copains de gauche (quel provoc', ce Jacques!) et donc j'ai voulu y inviter des gens qui fassent un peu réagir et bouger. J'ai pensé à Julien Clerc, qui n'a pas pu venir parce que ce jour-là il chantait (le veinard), Carla Bruni (toujours partante), et puis deux autres couples (toujours anonymes, mais "de gauche"). Et j'ai vécu en direct le coup de foudre présidentiel. Ils ne s'étaient jamais vus (c'est faux mais c'est mieux pour le script) et je pense qu'ils ne se quitteront plus jamais."
"Ils sont repartis ensemble, mais pas pour ce que l'on croit (mais que pourrions-nous croire encore?). Il l'a raccompagnée chez lui ("chez ELLE", Jacques, voyons !) et je sais qu'il ne s'est rien passé parce que c'était deux heures du matin, et cinq minutes après, Carla m'a téléphoné. Elle m'a dit : ton copain, il est quand même curieux, je lui ai donné mon numéro de téléphone et il ne m'a pas rappelée. Il venait de la quitter depuis cinq minutes."
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C'est gentil comme synopsis, mais Claude Sautet faisait mieux dans le temps.
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