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"Vous ne glisserez pas une feuille de papier à cigarettes entre le Président et moi," roucoule Fillon, le frère siamois. "Les sondages vous savez, ça va, ça vient. Je refuse cette tenaille"(une tenaille, ça suffit, on le comprend). Commenter les sondages, il ne l'a jamais fait, même "lorsque j'étais au fond du trou. Ce n'est pas maintenant que j'en sors...."
François Fillon n'entend donc pas tirer la couverture à lui et laisser les petits petons de Nicolas prendre froid. Il en veut juste un petit bout. Déjà, il y a quinze jours lors d'un voyage éclair aux Antilles, il rappelait : "Nicolas et moi avons rédigé ensemble le programme présidentiel"... "Nicolas et moi avons appris à travailler côte à côte. Il y a eu des efforts réciproques".
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