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Aujourd’hui lundi un tribunal arbitral est supposé décider d’un éventuel recours contre la décision rendue dans l'affaire Tapie : le 11 juillet, le CDR, structure publique qui gère le passif du Crédit Lyonnais, avait été condamnée à verser 285 millions d'euros aux liquidateurs du groupe Tapie, qui s'estimait floué d'une plus-value importante réalisée par la banque lors de la vente d'Adidas. Mais l’hypothèse d’un recours est faible, a tenu à préciser Bercy.
Alors sur France Inter, Pierre Moscovici est "extrêmement troublé" à l’idée que Bernard Tapie "a de quoi vivre maintenant avec de l'argent public qui a été décidé par une justice commerciale; on a besoin de savoir comment on s'est retrouvé à donner des centaines de millions d'euros à M. Tapie."
"Ca fait beaucoup, beaucoup", nous apprend-il à nous autres cancres qui ne savons toujours pas faire la différence entre un franc et un euro, entre un escroc notoire et un people bon teint. Le député du Doubs a des doutes : "On est frappé de voir la coïncidence entre le soutien que Bernard Tapie ne cesse d'apporter à Nicolas Sarkozy et le soutien que Nicolas Sarkozy apporte à Bernard Tapie".
Du coup, il voudrait "savoir exactement quelles ont été les instructions données et pourquoi, quel a été le rôle de Nicolas Sarkozy, le rôle du ministère des Finances, et comment on a choisi la justice arbitrale et pas la justice tout court"."Je dis qu'il y a eu là-dedans une intervention du politique en faveur de Bernard Tapie".
Quelle révélation ! Et quel courage !

On a vu ce qu'a donné la commission d'enquête sur la libération des infirmières bulgares !
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